Jacques Chabannes — Productrice / Producteur
Épisodes 4
La Chasse aux corbeaux
M. Criqueville (Bernard Dhéran), artiste-peintre sans le sou, vient d'être éconduit par le riche M. Courtin (Jean Brochard), le père de la jeune Janine (Marie Dubois) qu'il aime. Les traites ont été confiées à un huissier qui vient excercer son ministère. Alors qu'il pensa avoir touché le fond, il vit sa vie se transformer, dès qu'il eut constaté que la flatterie, pratiquée comme un art, lui ouvrit toutes les portes. De ce pas, il va passer de la pommade aux gens du gratin, chefs d'entreprise, financiers afin de leur soutirer de la galette, des emplois. Mais la flatterie ne fonctionne qu'un temps...
(Comédie d'Eugène Labiche, créée en 1853. Monumentale erreur dans cette adaptation télévisée, deux actes ont été intervertis ce qui est anormal et nuit, bien entendu, à la compréhension de la pièce. "Claudine Clement" est devenue "Claudine Huzé" mais pas encore "Marie Dubois".)
Enregistrée le mardi 17 mars 1959 pour une télédiffusion en directe.
Lire la suiteLa Flambée
M. Felt (Jean Martinelli) est un ingénieur qui a mis au point de nouvelles technologies d'armement. Mais pour satisfaire les goûts de luxe de sa femme Monique (Jean Martinelli), l'ingénieur s'est trop endetté. Harcelé par son banquier, il lui faut payer ses dettes. Et pour courroner la situation, Monique s'apprête à le quitter pour convoler en seconde noces avec le Colonel Beaucourt (Guy Tréjan) qui contrôle les travaux ultra-secrets de son mari. Glogau (Raymond Loyer), un "banquier" attire Felt pour mettre faire main basse sur ses inventions. Felt, acculé, n'aura qu'une seule alternative : vendre et trahir ou tuer pour sauver sa vie...
(Pièce créée en décembre 1911 au théâtre de la Porte Saint Martin, Paris X). Enregistrée le samedi 03 mars 1962 pour une télédiffusion en directe.
Lire la suiteLe mari ne compte pas
Léon Grosjean, un juge d'instruction promis aux plus hautes fonctions a trompé sa femme Denise avec Clairette, sa meilleure amie, à la suite des avances que lui a faites celle-ci. Clairette lui trace l'image qu'elle représente pour son mari Édouard et pour tous de leurs amis, celle d'une femme aimante et fidèle en qui l'on a toute confiance, une femme respectable. Écrasé par l'aveuglement d'Édouard, Léon est persuadé que sa femme Denise le trompe. D'ailleurs Clairette ne lui a-t-elle pas dit qu'elle prenait exemple sur son amie Denise, une femme irréprochable ? Léon se refuse à croire que "le mari ne compte pas". Devenu maladivement jaloux, Léon harcèle Denise de ses soupçons jusqu’au jour où un ami médecin lui diagnostique une crise aiguë de "lucidité". Léon ne peut pas vivre dans l'hypocrisie du comme "si de rien n'était", mais la vérité rendrait-elle les relations encore vivables ?
Enregistrée le mardi 02 avril 1963 pour une télédiffusion en directe.
Lire la suiteLe Divertissement posthume
Enregistrée le mardi 20 août 1963 pour une télédiffusion en directe.
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