Alors que dirigeants allemands du label Polygram sont en ville pour signer la transaction avec American Century, Richie Finestra fait capoter l’accord qui était sur le point d’aboutir. Les Allemands quittent les bureaux de l’American Century en laissant Richie face à la colère de son associé Zak.

Dans Greenwich, Devon se demande que faire au sujet de son mari, qui a brisé sa promesse en ne vendant pas le label. Néanmoins, sa colère est tempérée par les souvenirs de l'homme dont elle est tombée amoureuse en 1966, alors qu'elle était une artiste incontournable de New-York et notamment muse d'Andy Warhol.

De retour à American Century Records, Richie donne aux membres de son équipe deux semaines afin de trouver de nouveaux artistes, au risque de perdre leur emploi en cas d’échec. Jamie, qui ne livre habituellement que les sandwichs et la drogue pour l’ensemble du label, présente un groupe appelé les « Nasty Bits » qui semblent intéresser Richie Finestra.

À la recherche de nouveaux fonds pour leur label, Richie et Zak se rendent à Los Angeles, dans l'espoir de vendre leur jet privé à un concurrent, Lou Meshejian. Après avoir assisté à une fête en bord de la mer où se trouvaient de nombreux artistes du label de Lou, Richie et Zak se mettent en tête de se rendre à Las Vegas afin de convaincre Elvis Presley et son manager, le colonel Tom Parker, d'abandonner leur label actuel au profit d’American Century. Mais leur détour va prendre une tournure inattendue dans lequel les fantasmes de Zak se réalisent, à un prix élevé...

Alors que Richie joue double jeu entre son accord avec Galasso d’une part et celui avec la police d’autre part, le mafieux est écouté à son insu à propos d’un business louche à la casse du Bronx. Quelques heures, plus tard, la police intervient et arrête le bras droit de Galasso. Ce dernier convoque alors Richie et Zak et leur reproche d’avoir parlé. Corso est exécuté devant eux en guise d’avertissement.

La relation entre les membres de Nasty Bits implose à propos de Jamie alors qu’ils doivent jouer la première partie des New York Dolls. Richie est obligé d’intervenir et ordonne à Jamie de se retirer de la gestion de ce groupe. Le concert, d’abord mal embarqué, s’avère un franc succès pour le groupe. De retour au bureau, Richie lit une critique particulièrement élogieuse sur la performance des Nasty Bits et lance officiellement son nouveau label : « Alibi Records ».