Tahar Rahim

Informations personnelles

Célèbre pour Interprétation

Apparitions connues 46

Genre Homme

Date de naissance 4 juillet 1981 (42 ans)

Lieu de naissance Belfort, Territoire de Belfort, France

Alias

  • Ταχάρ Ραχίμ
  • טאהר רחים
  • 타하르 라힘
  • ტაჰარ რაჰიმი
  • 塔哈·拉辛

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Biographie

Tahar Rahim est un acteur franco-algérien, né le 4 juillet 1981 à Belfort.

Il reçoit le César du meilleur acteur 2010 pour le film Un prophète. Sa carrière prend par la suite une dimension internationale: il joue notamment le rôle du tueur en série Charles Sobhraj dans la mini-série Le Serpent (2021), et celui de Mohamedou Ould Slahi, un détenu au camp de Guantánamo dans Désigné coupable (2021).

Tahar Rahim est issu d'une famille modeste algérienne, originaire d'Oran (son père y était professeur d'arabe, avant de devenir ouvrier en France), composée de dix enfants. Il grandit dans le quartier des Résidences à Belfort et passe son temps dans les salles de cinéma qu'il fréquente dès son adolescence. À ce propos, dans Libération Next, il déclare qu'il était «dans une semi-hypnose». Il fait ses études au lycée Condorcet de Belfort, puis, après avoir «[perdu] deux ans en fac de sport puis de maths-informatique», il fait des études cinématographiques à l'Université Paul-Valéry de Montpellier.

Pendant qu'il poursuit ses études à l'université, il joue dans le docufiction de Cyril Mennegun, Tahar l'étudiant qui s’inspire largement de la vie du futur comédien en 2005. Après ses études de cinéma, il participe à la série de Canal+, la Commune, puis fait une brève apparition dans le film À l'intérieur d'Alexandre Bustillo et Julien Maury, la même année.

Son premier grand rôle lui est donné par Jacques Audiard en 2009 dans Un prophète qui reçoit un accueil critique très favorable de la presse lors de sa présentation au Festival de Cannes, notamment pour sa performance d'acteur. Il y interprète le rôle de Malik qui lui vaut le prix du meilleur comédien européen 2009 et le prix Lumières du meilleur acteur en 2010 mais surtout le César du meilleur espoir masculin et celui du meilleur acteur lors de la 35e cérémonie des César le 27 février 2010. Ce second doublé pour un comédien décide l'Académie des Césars à modifier le règlement l'année suivante afin d'interdire le cumul de nominations pour un même rôle dans différentes catégories.

L'année 2011 est marquée par la sortie de quatre longs-métrages: tout d'abord, l'acteur entame une carrière internationale en incarnant un prince picte dans le péplum L'Aigle de la Neuvième Légion, réalisé par Kevin Macdonald, porté par Channing Tatum et Jamie Bell. La même année, il défend aussi des premiers rôles: un jeune algérien durant la Seconde Guerre mondiale dans le film indépendant français Les Hommes libres, d'Ismaël Ferroukhi. Puis il joue un jeune français s'éprenant d'une chinoise dans le film d'auteur Love and Bruises de Lou Ye. Enfin, il est la tête d'affiche de la grosse production internationale Or noir de Jean-Jacques Annaud.

L'année suivante, il fait partie du jury des longs métrages du Festival du film asiatique de Deauville présidé par Elia Suleiman. Il partage aussi l'affiche du drame social À perdre la raison, de Joachim Lafosse, avec Émilie Dequenne. ...

Source: Article "Tahar Rahim" de Wikipédia en français, soumis à la licence CC-BY-SA 3.0.

Tahar Rahim est un acteur franco-algérien, né le 4 juillet 1981 à Belfort.

Il reçoit le César du meilleur acteur 2010 pour le film Un prophète. Sa carrière prend par la suite une dimension internationale: il joue notamment le rôle du tueur en série Charles Sobhraj dans la mini-série Le Serpent (2021), et celui de Mohamedou Ould Slahi, un détenu au camp de Guantánamo dans Désigné coupable (2021).

Tahar Rahim est issu d'une famille modeste algérienne, originaire d'Oran (son père y était professeur d'arabe, avant de devenir ouvrier en France), composée de dix enfants. Il grandit dans le quartier des Résidences à Belfort et passe son temps dans les salles de cinéma qu'il fréquente dès son adolescence. À ce propos, dans Libération Next, il déclare qu'il était «dans une semi-hypnose». Il fait ses études au lycée Condorcet de Belfort, puis, après avoir «[perdu] deux ans en fac de sport puis de maths-informatique», il fait des études cinématographiques à l'Université Paul-Valéry de Montpellier.

Pendant qu'il poursuit ses études à l'université, il joue dans le docufiction de Cyril Mennegun, Tahar l'étudiant qui s’inspire largement de la vie du futur comédien en 2005. Après ses études de cinéma, il participe à la série de Canal+, la Commune, puis fait une brève apparition dans le film À l'intérieur d'Alexandre Bustillo et Julien Maury, la même année.

Son premier grand rôle lui est donné par Jacques Audiard en 2009 dans Un prophète qui reçoit un accueil critique très favorable de la presse lors de sa présentation au Festival de Cannes, notamment pour sa performance d'acteur. Il y interprète le rôle de Malik qui lui vaut le prix du meilleur comédien européen 2009 et le prix Lumières du meilleur acteur en 2010 mais surtout le César du meilleur espoir masculin et celui du meilleur acteur lors de la 35e cérémonie des César le 27 février 2010. Ce second doublé pour un comédien décide l'Académie des Césars à modifier le règlement l'année suivante afin d'interdire le cumul de nominations pour un même rôle dans différentes catégories.

L'année 2011 est marquée par la sortie de quatre longs-métrages: tout d'abord, l'acteur entame une carrière internationale en incarnant un prince picte dans le péplum L'Aigle de la Neuvième Légion, réalisé par Kevin Macdonald, porté par Channing Tatum et Jamie Bell. La même année, il défend aussi des premiers rôles: un jeune algérien durant la Seconde Guerre mondiale dans le film indépendant français Les Hommes libres, d'Ismaël Ferroukhi. Puis il joue un jeune français s'éprenant d'une chinoise dans le film d'auteur Love and Bruises de Lou Ye. Enfin, il est la tête d'affiche de la grosse production internationale Or noir de Jean-Jacques Annaud.

L'année suivante, il fait partie du jury des longs métrages du Festival du film asiatique de Deauville présidé par Elia Suleiman. Il partage aussi l'affiche du drame social À perdre la raison, de Joachim Lafosse, avec Émilie Dequenne. ...

Source: Article "Tahar Rahim" de Wikipédia en français, soumis à la licence CC-BY-SA 3.0.

Interprétation

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