Françoise Galliot respecte toujours le vieil adage : «Cherche à qui profite le crime». Or, dans le cas qui l'occupe, l'identité du «profiteur» est évidente. Les toiles de ce peintre connu, que son galeriste a retrouvé mort dans son atelier, ne vont-elles pas se vendre comme des petits pains ? Mais l'affaire est plus compliquée que cela. Le peintre avait des manies, un goût prononcé pour les prostituées et les jeux sado-masochistes. Un homme politique est inexplicablement mêlé à l'affaire, mais le vrai mystère est ailleurs : au cœur des tableaux du maître...

Le commandant Galliot n'a pas la vie facile. Enchaînant les affaires, elle ne connaît guère de répit. On vient de découvrir un cadavre dans une cabine téléphonique. Les indices se réduisent à un nez de clown et un papier portant l'inscription «Batafrankel». Après de longues recherches, la brigade parvient enfin à identifier la victime. Il s'agit d'un acteur, qui exerçait parfois ses talents de clown à l'hôpital. Derrière cette façade, il cachait une double vie. En effet, à ses talents comiques, l'homme ajoutait un don certain pour le cambriolage. Mais le plus curieux, c'est que ses victimes, de dignes vieilles dames du XVIe arrondissement, le reconnaissent comme leur confesseur...

Des cadavres s'accumulent sans qu'il soit possible de déterminer les causes de leur mort. Un indice permet à la Crim' d'y voir plus clair. La devise de la brigade - «Qui s'y frotte s'y pique» - est retrouvée sur le flacon d'un produit urticant appartenant à la troisième victime. Les enquêteurs apprennent que le mystérieux assassin se fait appeler «Le Saigneur» et comprennent qu'il a lancé un défi à la brigade. Plus tard, le juge Chapuis est enlevé...

Un meurtrier, Bourdet, s'est évadé de prison et a assassiné tous les membres de la famille du docteur Laffarge, le psychiatre qui le suivait depuis son incarcération. Celui-ci l'avait pourtant déclaré irresponsable lors de son procès. Les membres de la brigade criminelle trouvent étrange qu'un dangereux criminel ait pu s'évader aussi facilement. Ils découvrent alors que Laffarge tire un énorme profit de la disparition de sa famille. Ils commencent à s'interroger sur les motivations du tueur, qui aurait pu être très facilement manipulé. Les enquêteurs interrogent Laffarge, dont l'attitude leur paraît de plus en plus suspecte...

Coste, un boucher parisien renommé, a été trouvé mort dans une de ses chambres froides. Un véritable casse-tête pour la Crim', qui ne trouve que peu d'indices dans cette pièce d'une propreté irréprochable, conséquence des mesures d'hygiène strictes en vigueur. Un autre problème s'ajoute aux difficultés des enquêteurs : le froid qui règne dans la chambre froide fausse toutes les données sur l'heure présumée du décès. L'équipe de Lemarchand est face à une affaire des plus délicates et commence par interroger les proches de la victime. Dans l'entourage du boucher, qui pourrait faire office de suspect ?...